Le 1er mai est la fête du Travail mais c’est aussi, pour les Européens que nous sommes, le début de la saison de plongée. Les douces températures et les longues journées ensoleillées incitent à sortir son matériel pour s’immerger dans l’eau salée après de longs mois frisquets. Tandis que certains attendent impatiemment les vacances pour s’adonner à leur loisir préféré, d’autres vivent leur passion au quotidien, comme guide ou instructeurs de plongée. Pourquoi pas vous ? Et si ce jour férié était une occasion de repenser le travail, d’enfin concrétiser votre rêve de bosser dans la plongée ?

Les études se suivent et se ressemblent. Depuis la pandémie, les velléités de changement de vie abondent. « Changer pour gagner plus, être mieux considéré, s’épanouir : la crise sanitaire a eu un rôle d’accélérateur des envies de reconversion professionnelle » constatait l’Agence France Presse (AFP) lorsqu’elle consacrait, en février 2022, un article au sujet. Si l’heure de « la grande démission » ne semble pas encore avoir sonné, 58% des actifs (tout de même !) projetaient de changer de travail en décembre 2021 (sondage Elabe pour l’Unedic) et ils sont même deux sur trois à envisager une reconversion cette année (Meteojob).  

La littérature de la clinique du travail abonde sur le sujet depuis la fin des trente glorieuses : intensification des rythmes et de la procédurisation, qualité empêchée, double contrainte et injonctions paradoxales, perte de sens ou encore délitement du collectif…, ont instillé un sentiment de lassitude chez bon nombre de salariés, notamment du tertiaire. Parfois, cette mélancolie se mue en un stress chronique qui éreinte la santé psychique, au point d’évoluer vers un syndrome d’épuisement professionnel, le fameux burn-out, dont les effets dévastateurs sont pléthoriquement documentés. 

Bosser dans la plongée ? Du rêve à la réalité, il n’y a qu’un pas

Une fatalité ? Que nenni ! Si on en éprouve le besoin, ou l’envie, il est parfaitement normal et acceptable de changer de job, pour embrasser une carrière plus en phase avec ses souhaits et ses valeurs. C’est pourquoi, en ce 1er mai, fête du Travail, nous décidons de faire un pied de nez à la grisaille du bureau, à la morosité de l’open space. Bosser et se faire plaisir est possible, et accessible, tout comme se réveiller chaque matin entouré d’une mer turquoise chargée de promesses.

À celles et ceux qui ont envie d’écouter leurs rêves de reconversion, à celles et ceux qui désirent redonner du sens à leur quotidien professionnel en se lançant un beau défi, nous disons : oui, il est possible de faire de votre passion pour la plongée un métier. Il est possible d’enseigner votre discipline favorite, de certifier de jeunes passionnés, de guider des explorateurs sous-marins dans les plus belles mers du globe. Ça n’est pas un fantasme, c’est un projet.

Dune : vous former depuis trois décennies

Comment le mener à bien ? En premier lieu, il faut le souhaiter, et si vous avez poursuivi votre lecture jusqu’ici, c’est vraisemblablement que la case de ce prérequis est cochée ! Ensuite, en vous rapprochant de la Dune Academy.

Dune a vu le jour en 1997 sur le littoral égyptien de la mer Rouge, à Safaga, il y a bientôt trente ans. Son fondateur, Gérard Besse, était un passionné de plongée sous-marine, et a décidé d’en faire son métier : une reconversion d’avant-garde qui a porté ses fruits. Le petit centre initialement spartiate, sa poignée de navires de croisière et de daily, ont rapidement attiré les plongeurs français et francophones. Outre de splendides sites que Dune a contribué à populariser dans le monde entier, les plongeurs trouvaient sur place une infrastructure parfaitement adaptée à la pratique de leur loisir, une organisation impeccablement huilée, ainsi qu’un staff s’exprimant couramment dans la langue de Molière, déterminé à faire de chaque séjour un moment d’exception. À l’offre d’exploration subaquatique s’adossait un catalogue de formations, permettant d’allier l’utile à l’agréable. Du baptême au niveau d’instructeur, des centaines de moniteurs ont ainsi transité à Safaga pour accéder à la profession qu’ils exercent aujourd’hui. Ils composent la grande famille de Dune, désormais présente sur neuf destinations de la planète bleue, en séjour et en croisière.

Quatre pays pour une « académie »

Dupliquer cet état d’esprit, ces savoir-faire et cette offre de formations destinée aux futurs professionnels de la plongée, s’est imposé comme la suite logique du développement international de Dune. En voyant le jour, Dune Academy propose une continuité de services et de compétences sur quatre continents, pour apprendre en se faisant plaisir et à son rythme, en France, en Égypte, en Indonésie et au Mexique ! Non contente de permettre à tout un chacun, selon son désir, son budget, et le temps dont il dispose, de choisir son cadre d’apprentissage, cette multiplication géographique est également propice à la découverte de nouvelles destinations et donc, à la polyvalence. Ainsi, il sera possible de devenir guide en Méditerranée, de faire ses armes sur des croisières en mer Rouge et dans l’océan Indien, puis de poursuivre son cursus d’instructorat, dans les cenotes et la mer des Caraïbes. Le tout en se perfectionnant en langues étrangères, puisque l’anglais, l’italien, l’espagnol et même l’indonésien, font partie du « couteau suisse » de vos formateurs. Dès la certification de son choix atteinte, le professionnel formé à la Dune Academy peut donc revendiquer d’une expérience internationale, mais aussi d’un réseau favorisant son employabilité. Et la progression de sa carrière : les guides d’aujourd’hui sont les managers de demain !

Et si ce premier mai marquait un tournant radical dans votre vie professionnelle ?